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Principal composant des chromosomes, l’ADN est le support physique de l’information héréditaire pour tous les êtres vivants. Molécule en double hélice, sa structure permet sa duplication et la transmission d’informations génétiques aux générations suivantes.
Méthode de culture n’excluant pas l’utilisation de pesticides et d’engrais chimiques mais n’en faisant usage qu’après réflexion sur leur réelle utilité. L’emploi de méthodes de lutte naturelle sera également privilégié avant le recours aux pesticides.
Plante dont les fleurs peuvent s’autoféconder, c’est-à-dire dont son propre pollen peut assurer la production de graines. La majorité des plantes sont autofertiles.
Organisation de la rotation des cultures sur plusieurs parcelles.
Pénétration d’une substance venant de l’extérieur dans un organisme vivant. L’absorption joue un grand rôle dans la nutrition et dans la respiration des végétaux supérieurs.
Se dit d’une substance qui tue les acariens.
Arthropode généralement de très petite taille (rarement plus de 5 mm), dont il existe de nombreuses espèces, parmi lesquelles certaines sont parasites de végétaux (« araignée jaune » et « araignée rouge ») [les acariens forment un ordre de la classe des arachnides].
Maladie provoquée par un acarien parasite, chez les plantes ou les animaux (dont l’homme).
Ensemble des modifications passagères subies par un individu afin qu’il s’adapte à un milieu nouveau. Lorsque cet individu revient dans son milieu d’origine, les modifications disparaissent. On parle aussi d’adaptation individuelle. Tolérance acquise par certains êtres vivants à des substances particulières.
Système de reproduction par autofécondation. Exemples d’espèces autogames la tomate, le haricot ou le riz.
Système de reproduction à fécondation croisée. Exemples d’espèces allogame le maïs ou le concombre.
Modification évolutive des caractères morphologiques ou physiologiques des êtres vivants, en réponse aux variations des conditions de milieu.
Espèce végétale qui s’ajoute à un peuplement auquel elle est étrangère. On parle souvent de « mauvaise herbe » pour les qualifier.
Métabolites toxiques secondaires (mycotoxines) produits par certaines souches de micromycètes (champignons) comme Aspergillus flavus et A. parasiticus, en particulier dans le cas de l’arachide, du maïs et du sorgho produits ou conservés dans des conditions inappropriées de température et d’humidité.
Agriculteur produisant des semences sur ses parcelles suivant un contrat de multiplication passé avec un établissement-multiplicateur.
Mode de production recourant à des pratiques culturales et d’élevage soucieuses du respect des équilibre naturels notamment en excluant le recours à la chimie de synthèses, aux OGM et en limitant l’emploi d’intrants.
Ensemble des sciences nécessaires à la compréhension de l’agriculture et des techniques utiles à sa pratique. Au sens strict, l’agronomie est l’étude scientifique des relations entre les plantes cultivées, le milieu (sol, climat) et les techniques agricoles.
Ensemble des opérations analytiques destinées à connaître la composition et les caractéristiques physico-chimique d’un sol.
L’analyse d’un sol comprend 3 étapes : l’échantillonnage, l’analyse proprement dite et l’interprétation. L’échantillonnage du sol doit être réalisé de manière à représenter le mieux possible la parcelle à caractériser.
L’analyse du sol est un outil précieux pour comprendre l’adaptation d’une plante dans une parcelle, apporter la juste quantité d’intrant notamment la fumure, choisir la culture la plus adaptées, mettre en place d’éventuels mesures correctrices ou encore réfléchir à des mesures prophylaxiques.
Nom commun regroupant une série de Maladies cryptogamiques des plantes due à divers champignons parasites, caractérisée par l’apparition de taches brunes sur les rameaux, les feuilles ou les fruits. L’anthracnose est favorisée par une humidité importante.
Unité de mesure des surfaces agraires, de symbole a, valant 100 m2.
Méthode d’irrigation consistant à arroser les plantes par le dessus, le plus uniformément possible à l’aide de gouttes d’eau produites par un asperseur alimenté par des canalisations sous pression.
Se dit d’une substance ou d’une préparation qui tue les bactéries.
Organisme procaryote (sans noyau) microscopique (de 1 à 10 microns (μm)) constitué d’une seule cellule isolée ou groupée avec d’autres, et se reproduisant par simple division (scissiparité́). Certaines bactéries sont pathogènes et leur virulence est déterminée génétiquement. D’autres au contraire sont bénéfiques ; elles jouent par exemple un rôle considérable dans la transformation de la matière organique.
Maladie des plantes dont l’agent responsable est une bactérie.
Exhaussement du sol cultivé, en forme de levée de terre allongée, réalisé́ à l’aide d’outils de travail du sol lors de l’opération de billonnage.
Se dit de toute substance qui peut être intégralement décomposée par les organismes présents dans le milieu (champignons, bactéries, etc.).
Fertilisant d’origine biologique. Les biofertilisants peuvent être des engrais obtenus par fermentation de déchets (animaux ou végétaux), des bactéries fixatrices d’azote (ex. : Rhizobium) apportées au sol pour faciliter la fixation de l’azote par les légumineuses, ou des champignons permettant la formation de mycorhizes sur certaines espèces.
Se dit d’un facteur écologique relatif aux êtres vivants, par opposition à abiotique.
Chez les végétaux, une destruction partielle ou totale des tissus comme la fleur, du fruit, de la feuille ou de l’écorce, provoquée par l’épandage d’un produit corrosif (produit de traitement, engrais) ou le soleil.
Opération consistant à amonceler de la terre au pied d’une plante, manuellement ou avec une machine appelée butteuse.
Opération de triage des produits d’une récolte (grains, tubercules, fruits, bulbes) selon leur grosseur ou leur poids afin d’obtenir des catégories homogènes.
Quantité d’eau retenue par un sol préalablement gorgé d’eau (par des pluies ou un arrosage intensif) après un ressuyage de 48 heures.
Volume d’eau retenu dans un sol, qui ne s’écoule pas sous l’action de la gravité.
Action d’apporter à un sol un amendement calcique ou calcimagnésien (chaux) pour en prévenir l’acidification.
Oxyde de calcium communément appelé chaux vive (formule CaO). Mode d’expression de la teneur en calcium des engrais et amendements, quelle que soit la forme sous laquelle se trouve le calcium (carbonates, chaux…).
Pigment vert responsable de la coloration verte des végétaux et jouant un rôle essentiel dans la photosynthèse.
Altération de la couleur des feuilles des plantes par une déficience de formation de chlorophylle.
Ensemble des conditions météorologiques décrivant les variations journalières, saisonnières et annuelles à travers l’évolution de grandeurs ponctuelles, moyennes, et de leur variabilité, qui permettent de caractériser l’état et les potentialités climatiques d’un lieu donné.
Chez les plantes, copie d’un individu par multiplication végétative. En biologie moléculaire , copie par duplication d’un gène.
En écologie, concurrence s’établissant entre deux ou plusieurs individus vis-à-vis d’un ou de plusieurs facteurs (lumière, eau, éléments nutritifs, etc.).
Ensemble des constituants du sol susceptibles d’adsorber des espèces chimiques. Le complexe absorbant est constitué par les argiles minéralogiques (kaolinites, montmorillonites, illites…), les oxydes et hydroxydes métalliques de fer, d’aluminium et de manganèse, et des composés humiques.
Partie du complexe adsorbant constituée par des associations entre les argiles et les substances humiques (matière organique stabilisée). Le complexe argilo humique participe à la structuration d’un sol et à la propriété d’être chargé négativement. Le CAH retient alors l’ensemble des éléments essentiels au fonctionnement de la plante et chargés positivement (Ca2+, Mg2+, K+, Na+…). Certains de ces éléments positifs serviront à leur tour à retenir des éléments chargés négativement (par exemple Ca2+ fait un pont calcique pour accrocher Po43-).
Mesure du pouvoir d’un sol à retenir et échanger des éléments. Elle se mesure dans l’analyse du sol et est un bon indicateur de la fertilité d’un sol. Plus sa valeur est importante plus le CAH peut retenir les éléments du sol contre le phénomène de lessivassions et plus la plante sera en mesure d’accéder facilement aux éléments via la solution du sol.
Mélange de produits organiques divers plus ou moins fermentés, obtenu par compostage pour obtenir un produit stabilisé. Le compost est utilisé comme amendement organique.
Document signé entre le multiplicateur (établissement ou producteur) qui définit les conditions (exigences techniques, production attendue, rémunération, etc.) selon lesquelles de semences seront multipliées.
Différence cumulée entre l’évapotranspiration potentielle (évaporation du sol + transpiration de la végétation) et les précipitations pendant une période où ces dernières sont inférieures à la première.
On parle aussi de phénomène de sècheresse qui auront pour conséquence la mise en œuvre de réaction de défense de la plante. Le déficit hydrique peut engendrer des pertes de rendement et aller jusqu’à la mort de la plante.
Symptômes visuels sur les plantes attaquées par des bio-agresseurs. Attaque qui cause un dysfonctionnement des plantes et/ ou une réduction de croissance de la plante.
Perte de récolte en quantité de graines ou de fruits, occasionnée par les dégâts liés à l’attaque de bio-agresseurs sur la parcelle.
Substances organique ou minéral destinée à apporter à la plante les compléments d’éléments nutritif pour améliorer sa croissance et/ou son rendement.
Opération consistant à recouvrir une semence d’une couche de matière protectrice. Désigne aussi la couche de matière en question.
Unité taxonomique correspondant à des individus qui peuvent se reproduire entre eux en donnant des descendants fertiles (définition génétique communément admise)
Dessèchement et perte de rigidité brutal d’une partie ou de l’ensemble d’une plante, causé par des facteurs biotiques comme un organisme phytopathogène s’attaquant aux racines ou colmatant le système vasculaire de la plante ou encore dû à des facteurs abiotique comme la sécheresse, la salinité, etc.
Épanouissement des fleurs. Temps de cet épanouissement. Les phytohormones jouent un très grand rôle dans la mise à fleur d’une plante. Les phytohormones sont-elles même secrétées par la plante en fonction des conditions environnementales (température, humidité, lumière, etc.)
Se dit d’une substance ou d’une préparation capable de tuer les champignons.
En agriculture, les fongicides sont utilisés pour détruire les champignons pathogènes qui s’attaquent aux cultures, aux semences et aux produits récoltés.
Dégât apparaissant dès la levée des plants, généralement occasionné par des champignons du sol, provoquant plus ou moins rapidement la mort des jeunes plantules.
Formation des fruits ; époque de cette formation des fruits suite à la floraison et à la pollinisation.
Mélanges solides de déjections animales et de litière. Le fumier est utilisé comme amendement organique.
Le processus de germination consiste du passage d’une graine sèche en une nouvelle plante, il implique quatre groupes de processus :
Une graine est le résultat de la fécondation d’un ovule et se compose morphologiquement de :
Opération qui consiste à couper l’extrémité des rameaux et des racines des végétaux avant de les replanter.
Substance active ayant la propriété de tuer les un spectre plus ou moins large de végétaux.
Aussi appelé « vigueur hybride », phénomène de supériorité d’un croisement par rapport à ses parents.
Se dit pour une variété, le plus souvent, résultat du croisement de deux lignées non apparentées.
État d’un organisme envahi par un parasite.
Définit la disposition générale des fleurs sur la tige d’une plante. En fonction de l’organisation des fleurs sur le rameau il existe plusieurs types d’inflorescences (grappe, épi, ombelle…). Le type d’inflorescence permet dans certains cas de caractériser une espèce, un genre ou une famille végétale.
Invertébré articulé respirant par des trachées et dont le corps, enveloppé dans un tégument chitineux, est divisé en trois segments : la tête portant une paire d’antennes, le thorax portant trois paires de pattes, et l’abdomen (les insectes forment une classe de l’embranchement des arthropodes).
Substance ou préparation ayant la propriété de tuer les insectes.
Apport artificiel d’eau à des plantes cultivées, qui a pour but de compenser l’insuffisance des précipitations naturelles et de permettre le développement harmonieux des plantes.
Combinaison logique et ordonnée des techniques mises en œuvre sur une culture en vue d’en obtenir un certain niveau de production.
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Pratique culturale consistant à découper la terre en une ou plusieurs bandes et à la retourner à l’aide d’une charrue. Portion de terre qui vient d’être ainsi travaillée.
Transport vertical ou latéral de particules d’argile entre les coupes verticales du sol vers des horizons sous-jacents ou situés en aval.
Terme de génétique indiquant la position d’un gène donné sur un chromosome. Pluriel : loci.
Ensemble des méthodes de lutte contre les prédateurs ou les parasites des cultures utilisant leurs ennemis naturels (virus, bactéries, insectes, acariens, champignons…) ou des pièges.
Variété de maïs consommé comme légume. En culture, le maïs doux demande plus de chaleur que le maïs grain. Les variétés de maïs doux sont classées en fonction de leur teneur en sucres, et de leur précocité ou de leur tardivité (somme de température enregistrée entre le semis et la récolte).
Affection d’une plante provoquée par un champignon parasite microscopique, et dont les différentes formes représentent environ 90 % des maladies des végétaux. Chez les animaux, on parle de mycose. Les produits utilisés pour lutter contre les maladies cryptogamiques sont appelés fongicides.
Culture intensive des légumes et de certains fruits, destinés à la vente en frais. Un producteur qui pratique le maraîchage est appelé maraîcher.
Constituant d’une préparation phytosanitaire auquel est attribuée tout ou partie de l’efficacité de celle-ci. Une spécialité́ antiparasitaire à usage agricole est composée d’une ou de plusieurs matières actives, accompagnées d’adjuvants (mouillants, diluants ou solvants, charges, adhésifs, tampons, conservateurs ou stabilisants, etc.) qui améliorent l’action de la matière active.
Transformation lente que l’on fait subir à un produit végétal ou animal pour améliorer ses qualités. La maturation d’un fruit se produit sous l’effet de la lumière et de la chaleur. Elle se traduit par la résorption complète de l’amidon, qui se transforme en glucose, la résorption quasi complète des tanins et de la chlorophylle, et la résorption très partielle des acides organiques.
Chenille qui passe une partie de son existence entre les deux épidermes d’une feuille, dont elle dévore le parenchyme (mines).
Cas particulier de succession culturale, où la même espèce est cultivée un grand nombre d’années successives sur une même parcelle.
Stade précèdent la floraison chez de nombreuses plantes herbacées (principalement des bisannuelles ou annuelles, telles que les graminées, betteraves, laitues…) qui ont d’abord développé une touffe ou rosette de feuilles au ras du sol, marqué par l’allongement des entre-nœuds.
Symptôme de nombreuses maladies à virus des plantes, se manifestant par des taches de diverses couleurs à contours nets sur les feuilles. 2. Nom donné aux maladies qui provoquent ce symptôme.
Modification spontanée ou provoquée (mutagenèse) du génome d’une cellule, d’un tissu ou d’un organisme.
Association symbiotique entre un champignon inférieur et les racines d’une plante. Le mycorhize est un lieu d’échange des matières alimentaires et de l’énergie indispensables à la croissance et au développement des deux organismes concernés : chacun tire bénéfice de l’autre.
Période correspondant au début du développement des fruits.
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Se dit d’une substance ou d’une préparation destinée à lutter contre les nuisibles animaux et végétaux des cultures et des produits récoltes.
Substance sécrétée par les glandes exocrines d’un animal, diffusée à l’extérieur et assurant une communication chimique entre les individus d’une même espèce. Par extension, produit organique de synthèse qui présente les mêmes propriétés de médiateur chimique que cette substance.
Réaction des êtres vivants à la variation de la longueur du jour et de la nuit. Chez les plantes en particulier, ce phénomène biologique de réponse à une alternance de périodes lumineuses et de périodes obscures qui entraine notamment : la dormance hivernale des bourgeons, la chute des feuilles, la formation des bulbes et des tubercules, etc. Mais c’est surtout la floraison des plantes qui a donné lieu à de nombreuses études à propos du photopériodisme.
Action toxique d’une substance ou d’une préparation sur un végétal cultivé, provoquant des altérations passagères ou irréversibles.
Spore produite par les anthères d’une fleur et qui contient le gamète, porteur de l’information génétique mâle. Il va se déposer grâce au vent, insectes ou naturellement sur les organes reproducteurs femelles, de la même fleur ou non suivant les espèces, pour féconder l’organe reproductif femelle et donner une graine.
Système de production agricole combinant la culture de plusieurs espèces différentes sur un même espace.
Symptôme de l’altération des tissus végétaux, due à différents agents pathogènes (champignons, bactéries, etc.). Les pourritures se rencontrent sur tous les organes, aériens et souterrains, des plantes. Selon l’agent responsable, elles s’extériorisent différemment, ce qui permet, dans de nombreux cas, d’identifier la maladie. Selon les cas, la pourriture peut être sèche, humide ou molle. Lorsqu’il s’agit d’une pourriture d’origine cryptogamique (fongique), les tissus malades sont envahis par le champignon, qui, bien souvent, ne tarde pas à fructifier.
Culture ou travail appliqué sur une parcelle avant la culture actuelle. Suivant la culture précédente, les travaux diffèrent, ayant des effets variables sur la structure du sol : par exemple l’intervention de machines lourdes (pour la récolte etc.) peut conduire à un tassement du sol, ce qui peut causer des problèmes de croissance sur les cultures suivantes. On appelle ce phénomène « effet précédent ».
Aptitude d’une variété végétale à atteindre un stade de développement donné plus rapidement qu’une autre.
Se dit d’un traitement destiné à prévenir l’apparition d’une maladie ou l’infestation d’une culture par un ravageur ou des adventices avant d’avoir atteint un seuil de nuisibilité qui nécessite une intervention. On réalise donc les traitements préventifs avant l’apparition des symptômes des ravageurs ; ce faisant, on prend le risque d’utiliser les produits alors que le problème ne se pose pas
Premiers fruits et légumes récoltés et commercialisés dans leur saison, ou en avance par rapport à l’époque normale de leur maturité.
Petit insecte (2 à 5 mm de long) homoptère brun ou vert, ailé ou non, qui vit souvent en colonies sur les végétaux, dont il puise la sève, provoquant parfois de sérieux dommages (nombreux genres, superfamille des aphididés). Ils peuvent transmettre des maladies à la plante comme des viroses.
Insecte piqueur-suceur avec un rostre en forme de stylet, au corps aplati et dégageant souvent une odeur nauséabonde (il existe de nombreux genres). Comme les pucerons, elles peuvent transmettre des maladies, comme des viroses, aux plantes qu’elles piquent.
Dans un lot, proportion de graines (ou de fruits) qui appartiennent réellement à l’espèce végétale attendue.
Dans un lot de semences ou de produits récoltés (graines ou fruits), proportion de graines ou de fruits appartenant réellement à la variété végétale attendue.
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Organisme animal nuisible (vers, acariens, insectes, rongeurs, certains oiseaux ou gibier etc.) causant des dégâts importants sur une culture ou une denrée agricole, en les consommant ou en étant vecteurs de maladies.
Substance ou préparation épandue à proximité ou directement sur les plantes ou produits à protéger, et capable de repousser certains ravageurs.
Processus qui consiste à multiplier des semences, c’est-à-dire en cultiver, récolter les graines puis ne garder que celles dont les caractéristiques sont similaires.
Graine récoltée sur une plante et destinée à être semée dans le sol pour reproduire une autre plante.
Personne ou entreprise ayant une activité de sélection, production et distribution de semences.
Méthode de semis consistant à réaliser des trous à intervalles réguliers dans la terre et d’y déposer à chaque fois plusieurs graines. Le semis en poquet permet l’obtention de plantes régulièrement espacées, parmi lesquelles on sélectionne un ou deux plants vigoureux. Cette méthode s’applique pour des plantes qui ne tolèrent pas le repiquage.
Local ou enceinte à parois transparentes permettant de cultiver des plantes dans de meilleures conditions (climatiques, protection contre le froid, les insectes ou les maladies) que si elles étaient placées à l’extérieur.
Agression ou contrainte provoquée sur une plante par des facteurs indépendants des êtres-vivants : des facteurs climatiques ou liés au sol. On parle par exemple de stress hydrique (manque d’eau), de stress thermique (chaleur ou froid extrême), de stress salin (brusque élévation de la teneur en sel dans le milieu racinaire), de stress azoté (carence momentanée en azote), de stress lumineux (intensité lumineuse excessive).
Agression ou contrainte provoquée sur une plante par des organismes vivants (insectes, champignons, bactérie, nématodes…)
Mode d’assemblage des particules du sol : sable, limon et argile. Elle peut être compacte, aérée, grossière, fine, grumeleuse etc. La structure d’un sol joue un rôle déterminant dans les processus physiques, chimiques et biologiques qui s’y déroulent. Elle conditionne la circulation de l’eau et des éléments chimiques qui y sont dissous, ainsi que la circulation de l’air. Contrairement à la texture, la structure d’un sol peut être modifiée.
Littéralement, un système dans son ensemble. Se dit en général d’un produit phytosanitaire qui pénètre à l’intérieur de la plante traitée et qui, véhiculé par la sève, agit sans distinction sur tous les organes de la plante.
Opération consistant à réduire la longueur et le nombre des rameaux ou des branches des arbres, des arbustes ou des arbrisseaux, de façon à les rendre plus vigoureuses pour améliorer leur production ou réduire le volume de leur feuillage.
Proportion des différents éléments minéraux du sol : répartis par taille entre les petites (argiles), moyennes (limons et sables) et grandes (cailloux, graviers) particules. La texture du sol n’est pas modifiable à l’échelle de temps de la vie humaine, il faut des milliers d’années.
Minuscule insecte (1 à 2 mm) présent dans le monde entier, possédants deux paires d’ailes très étroites bordées de soies. Attaquant sur les fleurs et les jeunes feuilles en se nourrissant de leur sève. Ils sont responsables de graves dommages sur certaines cultures, surtout les légumes et fleurs cultivés sous abri, qui se dessèchent et se déforment suite aux piqûres.
Extraction d’un végétal du sol ou de son contenant, pour le replanter ailleurs ou dans un autre contenant. Il s’agit en général d’offrir à la plante un espace plus favorable à son développement (volume supérieur pour le système racinaire, nouveau substrat, meilleures conditions climatiques : luminosité, humidité, etc.).
Engrais azoté synthétique obtenu à partir de l’ammoniac et du gaz carbonique. L’urée est composée de 46 % d’azote et se présente sous la forme de petites perles de 1 à 2 mm de diamètre (on parle souvent de « perlurée »). Les plantes ne peuvent pas absorber directement de grandes quantités d’azote uréique : une fois épandue l’urée sera hydrolysée en quelques jours par des enzymes du sol pour devenir de l’ammoniac, plus facilement absorbable par les plantes.
Individus d’une population ayant une base génétique étroite, reproductibles selon un schéma fixé et avec des caractéristiques agronomiques proches et définies.
Certaines plantes, comme l’oignon par exemple, ont besoin d’une période de froid pour passer d’un stade végétatif à un stade reproductif, et donc produire des graines. Par extension, traitement par le froid de graines ou de jeunes plantes destiné à avancer ou retarder leur cycle biologique.
Maladie des végétaux provoquée par un virus. Il existe des milliers de virus capables d’infecter des plantes cultivées ou sauvages. Ces viroses provoquent une diminution de la vigueur des plantes et une baisse des rendements. Tantôt graves, tantôt bénignes, elles sont d’autant plus à redouter que leur pouvoir de dissémination est grand et que les moyens de lutte directe sont inexistants. La résistance ou tolérance des plantes aux viroses a une grande valeur économique.
Aptitude d’un agent pathogène à infecter un organisme, à s’y multiplier et à produire les symptômes d’une maladie.
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